L’agriculture représente 96 % des émissions régionales d’ammoniac.
Les concentrations mesurées en 2024 varient de 1,5 µg/m³ à Tours à 4,6 µg/m³ à Oysonville, largement inférieures aux valeurs toxicologiques de référence.
Des pics saisonniers au printemps et en été sont observés, liés aux épandages, mais sans épisode majeur de pollution.
Depuis 2021, les niveaux restent stables d’une année sur l’autre.
Dès 2025, la surveillance se poursuit avec de nouveaux outils et le projet AgriAir, visant à accompagner les agriculteurs dans la réduction des émissions.
